«On ne peut dire exactement le nombre de Sénégalaises aujourd’hui en situation de détresse dans ces pays, mais tout ce que je peux dire c’est qu’elles sont nombreuses parce que j’ai recueilli beaucoup de témoignages», a déclaré Boubacar Seye, qui s’exprimait sur la situation des Sénégalaises qui se trouvent actuellement dans les pays du Golfe.
Pour le président de l’Organisation non gouvernementale Horizon sans frontières, cette situation ne date pas d’aujourd’hui, d’où son appel à l’endroit des autorités sénégalaises pour qu’elles prennent des mesures adéquates afin de porter secours à ces ressortissantes sénégalaises : «Il est urgent d’ouvrir une information judiciaire. Nous interpelons l’Assemblée nationale, le peuple sénégalais, les mouvements des femmes. Parce qu’il s’agit de femmes qui constituent aujourd’hui une couche vulnérable dans le monde des migrations internationales et qui sont sans protection en matière de droit international », martèle-t-il.
Pour le président de l’Organisation non gouvernementale Horizon sans frontières, cette situation ne date pas d’aujourd’hui, d’où son appel à l’endroit des autorités sénégalaises pour qu’elles prennent des mesures adéquates afin de porter secours à ces ressortissantes sénégalaises : «Il est urgent d’ouvrir une information judiciaire. Nous interpelons l’Assemblée nationale, le peuple sénégalais, les mouvements des femmes. Parce qu’il s’agit de femmes qui constituent aujourd’hui une couche vulnérable dans le monde des migrations internationales et qui sont sans protection en matière de droit international », martèle-t-il.
Au-delà des autorités sénégalaises, M. Seye demande à ce que les Nations Unies (Onu) se saisissent de la question car cette affaire transcende le Sénégal puisque qu’il s’agir d’une entorse et d’une violation «des articles 4 et 5 de la Déclaration universelle des droits d l’homme. Le droit de «l’hommiste» dénonce le mutisme des autorités qui ont été mises au courant depuis quelques temps d’autant plus que «Tout le monde en parle».